Voici des faits établis que le Coran a anticipés avant que l'homme n'en discerne pleinement les implications et les nuances.
L'être humain est donc face à un choix : croire en la parole du Créateur, confirmée par les éléments nommés, ou suivre les assertions de ceux qui tentent de réfuter cette parole en manipulant la science de manière sélective.
D'une quantité infime à la vie
L’homme pense-t-il qu’on le laissera sans obligation à observer? N’était-il pas une goutte de sperme éjaculée ? (Coran 75:36-37)
En évoquant 'une goutte', le Coran nous enseigne que l'homme découle d'une minuscule quantité plutôt que d'une séquence complète. La science moderne appuie cette idée : parmi des centaines de millions de spermatozoïdes, seulement une infime fraction participe au processus de création. Il s'agit-là d'une convergence marquante entre le Coran et la biologie contemporaine.
La composition complexe du sperme
Nous avons créé l'homme d'une goutte de sperme mélangée à des composantes diverses. (Coran 76:2)
Outre les spermatozoïdes, la semence masculine contient divers fluides ayant des rôles déterminants. Ces fluides apportent l'énergie nécessaire aux spermatozoïdes, neutralisent les acides à l'entrée de l'utérus et favorisent leur mobilité. Là aussi, le Coran s'aligne avec les connaissances en biologie reproductive.
L'utérus comme reposoir sûr
Ne vous avons-Nous pas créés d’une eau vile, et placé dans un reposoir sûr? (Coran 77:20-21)
L’utérus maternel agit comme un refuge protecteur pour le fœtus, le préservant des éléments extérieurs, de la lumière, du bruit et des chocs. Le Coran a souligné cette propriété protectrice bien avant la science moderne.
Description de l'embryon et du fœtus
... puis d'une goutte (de sperme), puis d'un embryon (Alaqah), puis d'un fœtus (Mudhgah),
afin de vous montrer [Mon Omnipotence]. (Coran 22:5)
Le verset évoque les étapes de développement embryonnaire et fœtal avec les termes 'Alaqah' et 'Mudhgah'. En arabe, 'Alaqah' a trois significations : sangsue, substance suspendue et caillot de sang. Ces descriptions correspondent à l'apparence de l'embryon : similaire à une sangsue, suspendu dans l'utérus, et ressemblant à un caillot avant la circulation sanguine. Quant au mot 'Mudhgah', il désigne le fœtus ressemblant à une substance mâchée, évoquant les somites à l'arrière du fœtus semblables à des empreintes dentaires. Ces détails précis, révélés bien avant la science moderne, soulignent l'omniscience du Créateur.
L'eau, essence de la vie
Nous les avons séparés et fait de l’eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas ? (Coran 21:30)
Cette affirmation dépasse la simple idée que la vie nécessite de l'eau ou que chaque être vivant en contient ; elle démontre que l'eau est au cœur même de l'existence. En examinant la composition des organismes, on constate qu'une grande partie de leur structure est aqueuse. La vie ne se contente pas de dépendre ou de contenir de l'eau, elle émane de l'eau. L'évocation de l'eau comme essence fondamentale de la vie témoigne de la vision avant-gardiste du Coran.
Les vertus curatives du miel
De leur ventre, sort une liqueur aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens. Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent. (Coran 16:69)
Le Coran a mis en évidence les vertus curatives du miel bien avant que la science moderne ne le confirme. Au 20e siècle, notamment lors d'une conférence d'apiculture en 1993 en Chine, les bénéfices médicinaux du miel ont été scientifiquement reconnus. Il stimule la circulation, possède des propriétés bactéricides et est riche en nutriments.
Le fer, héritage des étoiles
Et Nous avons fait descendre le fer, dans lequel il y a une force redoutable, aussi bien que des utilités pour les gens. (Coran 57:25)
Lorsqu'Allah indique avoir fait descendre le fer, cela pourrait être perçu comme une métaphore. Cependant, la science valide cette origine céleste. Le fer sur terre provient d'étoiles devenues instables en produisant du fer par fusion, ce qui a causé leur explosion et la dispersion de ce métal.
L'ancrage des montagnes
... et placé les montagnes en tant que piquets.
(Coran 78:7)
L'ancrage solide des montagnes stabilise la surface de la terre et confère à la croûte terrestre un équilibre, appelé "isostasie" en géophysique. Cela signifie que la hauteur d'une montagne est isostatiquement compensée par une racine proportionnellement plus profonde. Le Coran mentionne ce phénomène que la science n'a découvert que bien plus tard.
Le lobe frontal et le mensonge
S’il ne cesse pas, Nous le saisirons, certes, par le toupet, le toupet d’un menteur, d’un pécheur. (Coran 96:16-17)
Allah mentionne les premiers cheveux situés au-dessus du front, faisant indirectement référence au lobe frontal qui se trouve en dessous. Cette allusion est renforcée par le terme "Nasejah" en arabe qui désigne la zone frontale. Cette partie du cerveau est essentielle pour le raisonnement ou la maîtrise des impulsions. De façon notable, le mensonge, qui requiert à la fois planification et raisonnement, sollicite fortement cette région cérébrale, alignant ainsi le Coran avec les observations modernes.
Les mers qui refusent de se mélanger
Il a donné libre cours aux deux mers pour se rencontrer ; il y a entre elles une barrière qu’elles ne dépassent pas. (Coran 55:19-20)
Alors que les eaux dynamiques de densités différentes finissent par se mélanger avec le temps, le Coran décrit une exception en nommant la rencontre des eaux douces de l'Amazone avec celles salées de l'Atlantique. Une frontière nette persiste à cause de leurs densités et salinités distinctes. Plus de 14 siècles après cette révélation, cette barrière demeure toujours, illustrant ainsi la précision intemporelle avec laquelle le Coran détaille ce phénomène.
Le cycle de l'eau souterraine
N'as-tu pas vu qu'Allah a fait descendre du ciel de l'eau, puis Il l'a acheminée en sources dans la terre ; puis avec elle, Il fait sortir une culture aux couleurs variées... En vérité, il y a là un rappel pour les doués d'intelligence. (Coran 39:21)
Ce verset décrit le cycle de l'eau souterraine (hydrogéologie), montrant une connaissance profonde des processus naturels. Il raconte comment la pluie, venant du ciel, alimente les sources dans la terre, favorisant ainsi la croissance des végétaux. Bien avant que l'homme ne comprenne ces mécanismes, le Coran soulignait déjà le rôle vital de cette eau cachée pour la végétation sur terre.
Les couches océaniques et l'absence de lumière
[L'action du mécréant] est semblable à des ténèbres dans une mer profonde : des vagues la recouvrent, au-dessus desquelles s'élèvent [d'autres] vagues, sur lesquelles il y a [comme] des nuages. Ténèbres [entassées] les unes au-dessus des autres. Quand il étend la main, il ne la distingue presque pas. Celui qu'Allah prive de lumière n'a aucune lumière. (Coran 24:40)
Les mers et les océans sont composés de couches océaniques. Près de la surface, tout est lumineux, mais plus on s'enfonce, moins la lumière est présente, jusqu'à l'obscurité totale dans les profondeurs abysalles. Le Coran évoque ces différentes couches de la mer, et le verset correspond à ce que l'homme a découvert bien plus tard sur l'absence totale de lumière dans les profondeurs des océans.
L'individualité des empreintes digitales
L'homme pense-t-il que Nous ne réunirons jamais ses os ? Mais si, Nous sommes capables de remettre à leur place les extrémités de ses doigts. (Coran 75:3-4)
Dans le Coran, Allah mentionne la capacité de remettre à leur place les extrémités des doigts, soulignant ainsi leur singularité et leur spécificité. Cette notion coïncide avec ce que nous savons aujourd'hui : chaque personne possède des empreintes digitales uniques, et celles-ci sont précisément utilisées pour l'identification en raison de leur caractère individuel inimitable.
L'éphémérité de la conservation de l'eau
Nous envoyons les vents fécondants. Nous faisons alors descendre du ciel une eau dont Nous vous abreuvons et que vous n’êtes pas en mesure de conserver. (Coran 15:22)
La science moderne confirme l'impossibilité de conserver l'eau indéfiniment dans un état potable. Malgré les avancées technologiques l'eau reste sujette à la contamination biologique, aux réactions chimiques du récipient et à d'autres altérations au fil du temps. Ce verset, qui évoquait une réalité évidente à son époque, reste pertinent malgré le progrès technologique, illustrant la nature intemporelle du Coran.
L'eau pure du ciel
Nous faisons descendre du ciel une eau pure pour faire revivre par elle une contrée morte, et donner à boire aux multiples bestiaux et hommes que Nous avons créés. (Coran 25:48-49)
Ce verset résonne fortement aujourd'hui, à une époque de pollution accrue. Lorsque l'eau s'évapore des surfaces de la terre, qu'il s'agisse de mers, de lacs ou de rivières, même celles qui sont polluées, elle subit un processus de distillation. Cette évaporation sépare l'eau de ses contaminants, laissant derrière elle les impuretés, les sels et autres substances. Ainsi, l'eau qui se condense dans les nuages est intrinsèquement pure, confirmant la description du Coran.
Les vents fécondants
Nous envoyons les vents fécondants, puis Nous faisons descendre du ciel une eau dont Nous vous abreuvons. (Coran 15:22)
Jusqu’au 20e siècle, on pensait que le rôle principal du vent était simplement de déplacer les nuages. Toutefois, on comprend maintenant que son rôle est bien plus complexe et crucial. Le vent transporte l'humidité, notamment sous forme de vapeur d'eau, depuis des sources comme la mer. Il emporte également avec lui des particules, comme le sel marin ou d'autres aérosols, qui servent de noyaux de condensation. La rencontre de cette vapeur d'eau avec ces particules, aidée par le vent, favorise la formation des gouttelettes d'eau dans les nuages, et finalement, la pluie.
La création révèle son Créateur
En vérité, dans la création des cieux et de la terre, il y a certes des signes pour les doués d’intelligence. (Coran 3:190)
La matière ne peut se former d'elle-même ni établir ses propres lois de développement. Pour qu'un système puisse émerger, une information préalable à l'ordre physique est nécessaire, car toute entité physique suit des lois et ne peut réaliser que ce qui a été préalablement déterminé. Si vous prenez un objet et que vous le laissez tomber, il chutera parce qu’il obéit à une loi. L’objet ne va pas inventer une règle au moment de tomber, mais il obéira à une loi antérieure à l’expérience que vous faites. En somme, chaque loi et chaque phénomène nous dirigent inévitablement vers la présence d'un Créateur qui est à l'origine de toutes choses.