HéliosCentré

L'Héliocentrisme : Le culte solaire dans la conscience collective
Les symboliques franc-maçonnes

Le paradigme de la lettre volée

L'essence même de notre réalité est souvent dissimulée dans des détails qui semblent insignifiants. Ainsi, une réalité flagrante, bien qu'étant sous les yeux de tous, peut demeurer cachée aux regards. C'est précisément le concept que dépeint Edgar Allan Poe dans "La lettre volée". Dans cette histoire, une lettre contenant une information relative à un crime a été ostensiblement placée sur un bureau, mais elle demeure néanmoins invisible aux yeux de ceux qui la recherchent. Ce récit illustre que les réalités les plus manifestes sont souvent celles que l'on omet le plus facilement.

La main invisible de l'Égypte antique

La main invisible de l'Égypte antique

En suivant le fil du paradigme de la réalité dissimulée, on observe une abondance de symboles qui se réfèrent à l'Égypte antique dans l'architecture, la culture et les structures du pouvoir contemporain. Dans toutes les villes du monde, les emblèmes pharaoniques perdurent, évoquant fausses divinités et rites ancestraux. Les représentations phalliques, les allusions au pacte maçonnique, les illustrations pyramidales et les renvois au culte solaire sont tous des clins d'œil à cette civilisation ancienne. Ces symboles, omniprésents dans l'architecture urbaine, sur les billets de banque et dans les communications d'entreprises, témoignent de la prévalence de cet héritage. Ainsi, l’idéologie pharaonique, par sa présence subtile mais omniprésente dans notre société contemporaine, perpétue un courant de pensée qui, comme par le passé, éloigne l’humanité de la vérité fondamentale.

Le mensonge de l'héliocentrisme

L'héliocentrisme comme modélisation du culte solaire

Le modèle héliocentrique est une réminiscence du culte solaire, évoquant les croyances païennes ancestrales. En représentant le dieu solaire Hélios, ce modèle érige le soleil en tant qu'axe primordial autour duquel tout s’organise et s’aligne. Cette conception, profondément ancrée dans l’inconscient collectif, souligne la primauté accordée au soleil dans les doctrines antiques. Ainsi, l'héliocentrisme, en mettant en avant le soleil, dévoile subtilement le culte solaire et a pour ambition d'invalider les Écritures monothéistes en propageant une vision de la science qui se trouve en opposition avec les textes sacrés.

Toutes les loges franc-maçonnes montrent le soleil

L'influence dissimulée dans le modèle héliocentrique

Étant donné que d'innombrables symboles renvoient déjà à l'Égypte antique, il a été choisi, dans le modèle héliocentrique, de faire référence à Hélios, dieu solaire de la mythologie grecque, plutôt qu'à Ra, dieu solaire de la mythologie égyptienne. Ce choix de terminologie est une manière d'obscurcir les liens directs avec l'Égypte antique et de dissimuler les traces de son culte solaire dans ce domaine, car l'œil de Ra et l'œil d'Horus, symbolisés par le soleil et la lune respectivement, occupent une place centrale dans toutes les loges maçonniques.

Le culte solaire du Vatican

Le culte solaire en arrière-plan

L'adoration du soleil est une constante dans les traditions religieuses, et dans le prolongement de ce paradigme, le dogme solaire s'est aussi subtilement insinué dans la doctrine judéo-chrétienne. Alors que les textes bibliques interdisent toute représentation, le Vatican regorge de symboles et gravures solaires, et le choix du dimanche — "dies solis" en latin, "jour du soleil" — comme jour sacré, est une manifestation évidente de cette symbiose non déclarée. Par ailleurs, le prophète Jésus (as), souvent représenté par le soleil, sert en réalité de métaphore à ce dernier. Ces symboles et pratiques, qui abondent dans la tradition païenne, dévoilent une vénération secrète du soleil, en contradiction flagrante avec le monothéisme qui est véhiculé par les textes sacrés.

Le culte solaire du Vatican

Symboles anciens et tromperie moderne

Il est essentiel de noter que les symboles de l'Égypte antique, tels que l'obélisque, ornant de nombreuses métropoles, les pyramides et les voutes qui sont souvent placées au-dessus des fenêtres, les feuilles de lauriers qui jonchent les façades ou encore les colonnes qu’on retrouve à l’avant de bâtiments, sont des éléments phares au sein des sociétés secrètes et des religions qui sont présentées comme monothéistes au grand public, alors qu'elles ne le sont pas. Comme nous l’avons vu précédemment, ces structures divinisent le soleil, et comme le Vatican présente le soleil comme symbolisant la lumière divine, il est impératif de démontrer que les textes sacrés contredisent une telle affirmation : en effet, tant le Coran que la Genèse (1:4-19) établissent une distinction claire entre la lumière et le soleil, indiquant que la lumière a précédé le soleil et qu’elle subsiste sans lui. De plus, soleil disparaîtra lors du Jour du Jugement, alors que la lumière demeurera. Ce faisant, assimiler le soleil à la lumière divine est donc non seulement incorrect, mais également trompeur.

L'Islam sauvegarde le pur monothéisme

L'Islam dit stop aux falsifications

L'Islam se manifeste comme un retour aux valeurs fondamentales de la foi monothéiste, déclarant une rupture irrévocable avec les altérations et les détours qui ont mené tant de Juifs et de Chrétiens à l’égarement. Le Coran, dans ce contexte, rappelle l’importance de l’adoration exclusive du Créateur et réfute catégoriquement toutes formes de polythéisme, mentionnant spécifiquement l'adoration du soleil et la croyance en de faux pouvoirs comme des subterfuges de Satan :


Ne vous prosternez ni devant le soleil, ni devant la lune; prosternez-vous devant Allah qui les a créés, si vraiment c’est Lui que vous adorez. (Coran 41:37)


"J'ai découvert qu'elle et son peuple se prosternent devant le soleil plutôt que devant Allah. Satan leur embellit leurs œuvres et les égare du droit chemin, et ainsi ils ne sont pas guidés." (Coran 27:24)


Ils veulent prendre pour juge de faux pouvoirs, alors que c'est en eux qu'on leur a commandé de ne pas croire. Mais le Diable veut les égarer très loin dans l'égarement. (Coran 4:60)


Si l'Islam est critiqué de nos jours, c’est justement en raison de sa fermeté dans la préservation du pur monothéisme. Face à cette rigueur, le système idolâtre s’efforce donc de détourner les esprits vers des illusions de pouvoir et des conceptions erronées, illustrées notamment par la croyance en l'héliocentrisme. Et bien que les croyants soient exhortés à rester vigilants face aux supercheries de l’élite impie et à ne pas succomber à des formes dévoyées d'association, nombreux sont ceux qui s'éloignent de la vérité, souvent sans même en avoir conscience.

L'Islam et les symboles

Le rejet des symboles

Dans un monde submergé par les symboles, il est pertinent de souligner que, fondamentalement, l'Islam ne reconnaît aucune symbolique, à l'exception de la déclaration de foi qui atteste qu'il n'y a de divinité qu'Allah et que Muhammad est Son messager final. Le croissant de lune, fréquemment associé à l'Islam, est une innovation introduite par l'Empire ottoman au 15e siècle, et il n'existe aucun fondement dans les textes sacrés pour appuyer une telle symbolique. L'intention délibérée d'éviter les représentations sert à éloigner toute forme de polythéisme dans l'adoration du Créateur et à maintenir l'intégrité de la pratique religieuse, la préservant de toutes influences et innovations étrangères susceptibles de brouiller la clarté du message de l'unicité du Tout-Puissant.

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